Proverbes et citations 2

Quand l'argent marche, tout va bien.

 

Ce qui arrive à l'un peut arriver à l'autre.

 

Artésien, tête de chien !.

 

Ne nous associons qu'avec nos égaux.

 

S'attendre n'est pas le bon moyen de s'entendre.

 

Qui attend s'ennuie.

 

Tout vient à point à qui sait attendre.

 

Petit diner longuement attendu, N'est pas donné, mais chèrement vendu.

 

En attendant les souliers d'un mort, On marche longtemps pieds nus.

 

Qui s'attend à l'écuelle d'autrui, Dine souvent par coeur.

 

Ne t'attends qu'à toi seul.

 

Le trop d'attention qu'on a pour le danger, Fait le plus souvent qu'on y tombe.

 

Tout ce qui peut être fait un autre jour, Le peut être aujourd'hui.

 

Tel auteur, tel livre.

 

Ne charge pas autrui de ce que tu peux faire.

 

Chagrin d'autrui ne touche qu'à demi.

 

Chacun décharge son péché, et charge celui d'autrui.

 

Jamais par le bras d'autrui, Grands Etat n'ont été conquis.

 

Qui s'attend à l'écuelle d'autrui, Risque de rester sur son appétit.

 

Le mal d'autrui n'est que songe.

 

Il faut se prêter à autrui, Et ne se donner qu'à soi.

 

L'avare crierait famine sur un tas de blé.

 

L'avare pour vouloir dépenser peu, Dépense le double.

 

Avare pour le son, prodigue pour la farine.

 

Quand tous les péchés sont vieux, Avarice est encore jeune.

 

Il n'est chère que d'avaricieux.

 

Un homme averti en vaut deux.

 

Une poule aveugle peut quelquefois trouver son grain.

 

Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.

 

On peut donner un bon avis, Mais non pas la bonne conduite.

 

Ceux qui sont de notre avis, Sont les vrais hommes d'esprit.

 

Bon avocat, mauvais voisin.

 

Année de vin, point d'avoine.

 

Imprudence, babil, sotte vanité, Et vaine curiosité, Ont ensemble étroit parentage; Ce sont enfant tous d'un lignage.

 

Un bon bâilleur en fait bâiller deux.

 

Souvent il faut baiser le bras dont on voudrait que la main fût coupée.

 

Que chacun balaie devant sa porte et les rues seront nettes.

 

Il faut prendre la balle au bond.

 

Cent ans bannière, Cent ans civière.

 

N'aille au banquet, qui ne veut pas manger; Ni sur la mer, qui a peur du danger; Ni à la cour, qui dit tout ce qu'il pense; Non plus au bal, qui n'aime pas la danse.

 

Barbe bien étuvée, est à demi-rasée.

 

Torche ta barbe et dis que t'as bu.

 

Un barbier rase l'autre; Une main lave l'autre; Un âne frotte l'autre.

 

A barque désespérée, Dieu fait trouver le port.

 

Coureur comme un Basque.

 

Les batailles sont en la main de Dieu.

 

Qui bâtit, ment.

 

Il est plus aisé de bâtir des cheminées, Que d'en tenir une chaude.

 

Qui bâtit, pâtit.

 

Le bâton est le roi du monde.

 

Le mort a le tort, Et le battu paie l'amende Il ne fait pas bon battre un homme la veille de sa mort.

 

Nous avons battu les buissons, Et un autre a pris l'oiseau.

 

Autant vaut bien battu que mal battu.

 

A chemin battu il ne croît point d'herbe.

 

Le Béarnois, Feint, faux, courtois.

 

Aprés le beau temps vient le laid; Aprés la guerre, la paix.

 

Besace bien promenée nourrit son maître.

 

Besogne qui plaît est à demi faite.

 

Parle peu, fais ta besogne; Sage est qui ainsi besogne.

 

Besoin fait maint sentier tenir.

 

Le besoin fait vieille trotter.

 

On ne saurait manier le beurre, Qu'on ne s'en graisse les doigts.

 

Qui approche le beurre du feu, Ne l'empêchera pas de fondre.

 

Si tu as la tête de beurre, ne te fais pas boulanger.

 

Le bien cherche le bien.

 

Notre bien et notre mal, ne tiennent guère qu'à nous.

 

On a toujours plus de bien que de vie.

 

Qui donne son bien avant de mourir, Peut s'apprêter à souffrir.

 

Quand viennent biens, ils viennent à monceaux.

 

Bienfait qui se fait trop attendre, Est gâté quand il arrive.

 

Bienfait reproché, est à demi payé.

 

Un bienfait reproché tient toujours lieu d'offense.

 

Un bienfait n'est jamais perdu.

 

Faute de blé, on mange de l'avoine.

 

Chacun sait où le bât blesse.

 

La guérison n'est jamais si prompte que la blessure.

 

Il ne faut pas faire marcher les boeufs d'un autre Plus vite qu'il ne veut.

 

Le grand boeuf apprend au petit à labourer.

 

Qui a bu boira.

 

Assez boit qui a deuil.

 

Plus on boit plus on veut boire.

 

Il n'est bois si vert qui ne s'allume.

 

Tout bois n'est pas bon à faire flèche.

 

Il ne faut pas aller au bois sans cognée.

 

Volontiers gens boiteux haïssent le logis.

 

Deux fois bon, c'est une fois bête.

 

Les bonnes gens sont aisées à tromper.

 

Le bonheur est dans soi, chez soi, autour de soi et au-dessous de soi.

 

Le bonheur dépend presque toujours de soi.

 

Bonheur passe richesse.

 

Le bonheur est là où on le place.

 

Le bonheur est l'amorce de la témérité.

 

Où manque le bonheur, tout soin est inutile.

 

Chacun est bossu quand il se baisse.

 

La bouche parle de l'abondance du coeur.

 

En close bouche n'entre mouche.

 

Epargne de bouche vaut rente de pré.

 

Qui est dans le bourbier, y voudrait mettre autrui.

 

Il ne faut pas qu'on voit jamais le fond de notre bourse.

 

Selon ta bourse te maintiens.

 

Il n'y a que la première bouteille qui soit chère.

 

Le jeu et les bouteilles rendent les hommes égaux.

 

Tout ce qui branle ne tombe pas.

 

Selon le bras, la saignée.

 

Quand brebis enragent, elles sont pires que les loups.

 

Il faut tondre les brebis, et pas les écorcher.

 

Brebis qui bêle perd sa



14/05/2009
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